Pierre-Eric Sutter a été interviewé par Delphine Masson pour l’Observatoire des compétences métier sur le sujet de l’éco-anxiété. Comment définir l’éco-anxiété ? Qui touche-t-elle ? Et quel est son impact pour l’entreprise ? Autant de question auxquelles Pierre-Eric répond pour aider les employeurs à mieux comprendre l’éco-anxiété. Mais aussi à mieux honorer leur responsabilité socio-environnementale (RSE) pour mieux accueillir les éco-anxieux, qui selon une étude du Lancet montre qu’ils sont majoritairement éco-anxieux (3 sur 4) que leurs aînés.

Or ce sont les générations qui arrivent dans les entreprises et pour faire « tourner la boutique », elles vont devoir non seulement les attirer mais surtout les fidéliser, ce qui est impossible avec une politique ou des actions RSE trop « greenwashing ».

Pour éviter de repousser ces jeunes éco-anxieux, il vaut mieux être une entreprise qui met « le Vivant au coeur de la stratégie » (comme l’indique le sous-titre du livre de Pierre-Eric Sutter co-écrit avec Sylvie Chamberlin « L’entreprise existentielle », Gereso, mars 2022). Le Vivant ce n’est pas seulement oeuvre pour la Nature à l’extérieur de l’entreprise mais aussi pour le Vivant à l’intérieur, c’est-à-dire les salariés.

Pour creuser ces questions et apporter des réponses encore plus pertinentes, l’OBVECO a lancé une étude sur le sujet de l’éco-anxiété et proposera prochainement des éclairages approfondis.

Pour lire l’article de Delphine Masson cliquer ici.

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