Dans cet article de l’ADN on line signé par Mathilde Ramadier paru le 26/11/2019, Pierre-Eric SUTTER présente le modèle des 4 sociotypes qui classe les collapsologues selon qu’ils sont optimistes ou pessimistes, actifs ou passifs. Il explique pourquoi la courbe de deuil n’est pas adaptée à la conscientisation des problèmes environnementaux qui engendrent l’angoisse de finitude (effroi de la mort) et l’angoisse eschatologique (crainte de la fin du monde) du fait du questionnement existentiel que provoque la narration collapsologique.  Pour lire l’article, cliquez ici.

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