Les propos de Loïc Steffan et Pierre-Eric Sutter ont été repris dans ce post d’Anne-Sophie Novel du 24/11/2019 qui parle de la peur comme moteur de l’action pour lutter contre l’effondrement. Cela nécessite une prise de conscience dont le processus est assez long, d’où l’effet bénéfique de provoquer les prises de conscience le plus en amont possible, dès aujourd’hui, avant qu’il ne soit trop tard. Non seulement par la science (comme le font déjà les chercheurs du GIEC, quand bien même les gens même les plus brillants se refusent à « croire » leurs travaux qui pourtant sont rationnels, contrairement à la peur…) mais aussi par l’art, comme le font Les Parasites sur Canal + en ce moment avec leur série « L’effondrement », à voir absolument pour comprendre la différence entre la peur panique qui fait faire n’importe quoi et la peur qui prépare à l’action collective, par anticipation.

La peur de l’effondrement, moteur d’action et d’engagement ?

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